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GAZETTE 2016
Traditions,
tradition. il faut savoir souffrir pour maintenir les traditions, du
coup ce 09 janvier, nous sommes montés à Coulouma pour sabler le
champagne. quelques gouttes de pluie ont voulues nous faire peur, mais
rien ne nous a arrete et quelques bulles au sommet de Coulouma c'est
bien agréable.
21 janvier: assemblée générale du club.
Prémonitoires, c'est comme cela que nous pouvons qualifier les quelques
mots que notre président avait prononcé l'année passée lors de
l'assemblée générale 2015. Il avait à cette occasion insisté sur le
suivi de notre santé. De fait le 21 janvier
2015 notre ami patrick a été terrassé sur son vélo lors de notre sortie
du mercredi. Hasard du calendrier, cela fait un an jour pour jour.
C'est donc dans une ambiance de recueillement qu'a débuté notre AG,
d'autant qu'en été, notre ami Jeannot nous a lui aussi quitté emporté
par la maladie, il était un pilier du club avec Jeannette et Lulu. Le
discours de notre président à été en l'occasion un peu plus long qu'à
l'habitude.
Voici son message:
"Nous voici réunis pour une nouvelle AG, il me semble que c'était hier
que je présentais la précédente, le temps s'est écoulé très vite. Je
salue la présence de Monsieur Lambert Medhi représentant de la Mairie
de Coursan. Il nous dira un petit mot tout à l'heure. 2015 a été pour
le club et nous tous une année terrible, il y a un an jour pour jour,
Patrick Divay était terrassé sur son vélo, en attaquant la côte
de Montouliers, au milieu de ses copains cyclos. J'avais à l'AG
2015 insisté sur la nécessité de surveiller sa santé, ce que Patrick
avait fait, test de l'effort etc.. la médecine n'est pas une science
toujours exacte, et rien ne remplace, une bonne connaissance de soi et
une modestie sur nos performances, il faut savoir être
raisonnable. Chacun doit trouver sa cadence. Prudence. Un
peu plus tard dans la saison notre ami Jean Bonhomme nous a quitté
parés avoir lutté contre une maladie perfide. Jeannot était un pilier
du club des cyclos, il nous conseillait la prudence et sur les
carrefours il jouait les toréros, il avait sa personnalité. En passant
par Montouliers nous avons une pensée pour Patrick et à l'Antérique une
pour Jeannot. Je vous demande en leur mémoire une minute de
silence.
Mais la vie a repris son droit et nous avons continué. Quelques
randonnées prévues ont été renvoyées à cause de météo
défavorables, il a fallu attendre le Laouzas pour vivre une belle
randonnée. Le club a été très bien représenté et nous avons été honores
d'un trophé. Semaine fédérale les Auret à Albi. pauses
cafés !! Notre randonnées des Fontaines suivi du repas, dans le
parc de Claude.
Le séjour dans l'Ariège a été le sommet de la saison. La montée du
plateau de Beille le point culminant. Des révélations imprévues sont
apparues . Séjour magnifique bien orchestré par Aouari.
Notre effectif est stable, quelques arrivées, jeunes en particulie, et
a signaler, toujours de bonnes participations à nos sorties
hebdomadaires, dans une ambiance que l'on doit à tout prix
conserver.
Un petit mot sur la sécurité. Nous essayons d'être au plus prêt, du
code de la route, mais on est très conscient de la difficulté du
partage des routes. tout le monde n'apprécie pas ces enquiquineurs de
cyclos! De notre côté faisons notre possible pour être irréprochables.
Aprés, mettons nous sous l'égide de St Christophe!
pour conclure je rappelle la devise du cyclotourisme: c'est une
activité de loisir, librement consentie et pratiquée selon ses gouts,
ses envies, ses moyens physiques. En toute conscience en toute
sécurité. l'idéal!!
Je souhaite une bonne santé aux malades et aux éclopés du club.
Bon anniversaire aux Auret."
Après avoir procédé aux différentes présentations, rapport moral,
financier etc.., nous avons conclu l'assemblée en partageant la galette des
rois et bu le verre de l'amitié.
12 mars, notre petit déjeuner s'est transformé en repas.
un joli circuit passant par Cessenon, Roquebrun, Vieussan et Berlou
nous a emmené à Saint Chinian ou une table accueillante nous attendait.
le plus dur? c'est Fonjun après un gueuleton mais bon fallait bien
revenir.
Le Caroux
un bon repas ça se mérite!
Et maintenant à table!
13 avril, passage par le Mont Celèbre.
02 mai, La Treille.
05 mai, tour du pays de Sault à Quillan.
3° degrés le matin, heureusement le soleil était au rendez vous et
grand beau temps toute la journée. sinon que dire, Quillan c'est tout
plat, et comme l'année dernière nos amis de l'AS Formica nous ont
proposé une digestion dans le col de St Louis.
Une petite photo au départ et un des moments importants de la journée, LE RAVITO, lui il vaut le détour.
Depuis le Grau de Maury
le repas, précédé d'un petit Rivesalte tuilé.
depuis le viaduc du col de St Louis.
18 mai, col de Salette.
très beau temps, du coup, casse croute au Rocher du Suzadou.
21 mai, le printemps du pays Cathare. Tuchan
Le col de la Gineste victime de son succès.
04 et 05 juin: Trèbes le Laouzas et retour.
Un temps idéal pour faire du vélo, un parcours toujours aussi vallonné,
peut être un peu moins que l'année dernière et une organisation
parfaite, tous les ingrédients étaient réunis pour une rando de rêve.
On peut ajouter les retrouvailles avec un collègue de travail (19 ans
qu'on ne s'était pas vu), le descente du Caroux toujours aussi longue
et impressionnante. Une belle partie de manivelles dans un groupe ou se
mélangeaient Marseillais de la Pomme, Lézignanais, Narbonnais et les
Coursannais, depuis Saint Julien jusqu'à Trebes. Voilà, deux journées
magnifiques, du coup on remettra ça l'année prochaine.
Le départ.
Après l'effort.......
Le repas du soir, c'est le moment ou on rempli la chaudière en prévision de la journée du lendemain.
C'est reparti, direction Trèbes.
Le ravito à la Sortie du Poujol sur Orb au pied du Caroux.
Carcassonne Pyrénées 2000. 18 et 19 juin.
Temps incertain, pluie fine dès le départ et la question: dans quelle galère nous sommes nous embarqués!
A partir de Verzeilles le temps ne s'arrange pas et il en sera ainsi
jusqu'au ravito de Rennes les bains. ensuite une alternance nuages
quelque goutes de pluie et soleil nous accompagne jusqu'à l'arrivée.
Après Rennes le parcours nous à emmené gentiment jusqu'au juge de paix
de la journée: le col de Garavel. Pour y avoir connu quelques galères
c'est avec quelques craintes que je l'ai abordé. Bon ça s'est bien
passé et c'est avec le sourire que nous avons avalé le repas pris au
sommet du col au village du Bousquet. Après le repas, il restait
environ 50 kilomètres, trois heures de route consacrées à monter monter
et encore monter jusqu'à Pyrénées 2000 où nous avons mis pied à terre à
17 heures.
Le départ.
Col de Garavel
Depuis la terrasse de l'hôtel, en arrière plan le massif du Cambre d'aze (dos d'âne en français)
_____________
Deuxième jour. Le ravito est prévu à Ascou de Pailhères 60 kilomètres.
2° le matin et comme la veille le temps est incertain. Il fait
franchement froid. du départ au Ravito le menu est copieux: mise en
bouche avec le remontée vers la station des Angles puis longue descente
jusqu'à Formiguères et la un enchainement pas piqué des hannetons, à
savoir col d'Ares, descente sur Quérigut, remontée sur Mijanes et col
de Pailhères, descente sur Ax les Thermes et col de la Chioula puis
tranquille jusqu'au reps pris a Roquefeuil. Nous avons eu
particulièrement froid dans Pailhères sommet dans les nuages autour de
zéro avec quelques flocons et surtout un vent glacial. Et
que dire de la descente route mouillée, vent et froid même le ravito
d'ascou n'a pas réussi à nous réchauffer. le reste du parcours a été
plus clément et dans la difficulté et et pour la météo.
La Chioula
Au total d'après mon compteur, 337 Kms et 6097 mètres de dénivelé,
comme dit la pub: "c'est sûr, je ne ferais pas ça tous les jours"
La Randonnée des Fontaines.
Le très important incendie du 13 juillet a bien failli jouer les
troubles fêtes, en effet quelques routes situées sur le parcours
ont été interdites à la circulation une partie de la journée. Du coup
une reconnaissante fort matinale a été nécessaire avant de donner le
départ de la randonnée. heureusement tout était OK. Etait-ce à cause de
cet évènement ou la fraicheur plus le vent violent qui soufflait,
toujours est il que les cyclos n'étaient pas très nombreux. Cependant
rien ne peut entamer la bonne humeur de Jean Louis.
11 décembre. Notre repas de fin d'année.
C'est au cœur de village de Capestang que nous nous sommes retrouvés.
Chaleureusement accueillis dans un petit restaurant qui mérite le
détour. A voir juste à cote du restaurant un mur peint en trompe l'oeil
qui lui aussi vaut le détours.
Et maintenant à table!
Coeur cycliste pour toujours.
Vive le Président!
Fin de la Gazette 2016